La fois où… j’ai été surbookée (partie 2)

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Si vous avez lu mon dernier article, vous savez comment j’ai appris que j’étais une passagère qui avait été surbookée sur un vol de retour entre Newark et Québec. Voici la suite de ma mésaventure :

L’agente que j’avais un peu harcelée pendant que j’espérais encore pouvoir prendre mon vol tel que prévu, m’a référé au service à la clientèle. On m’informe que la compagnie aérienne a une politique en cas de surbooking et qu’ils vont me donner une compensation monétaire. Mais je m’en foutais de la compensation ! Je voulais juste rentrer chez moi. Au service clientèle, on me dit qu’il y a un vol à 13h00 et un autre à 15h00 (à ce moment il était 11h00). Ils n’étaient pas sûrs que je puisse prendre le vol de 13h, mais j’avais une place assurée sur le vol de 15h. Ils m’ont quand même offert de me mettre sur la liste d’attente du vol de 13h. Par contre, il fallait que je revienne environ 30 minutes avant le vol de 13h pour vérifier s’il y aurait de la place.

Il me reste donc 1h30 à passer avant de savoir si je peux prendre le vol de 13h. Là, je réalise qu’il faut que je communique avec mon chum ou mes parents pour leur expliquer ce qui m’arrive (parce que eux, ils m’attendent à Québec pour mon souper de fête).

Je prends ma tablette pour tenter de leur envoyer un courriel. Deuxième fail de la journée : Le wifi ne fonctionne pas.

Je m’informe à un employé de l’aéroport et je me fais répondre qu’il n’y a pas de wifi dans l’aéroport. Quoi ?!?! On est bien en 2016, non ? Et je suis bien dans un aéroport international à New-York ? Je ne suis pas à l’autre bout du monde dans un endroit où internet ne fait pas encore partie des habitudes de vie ?

Décidemment, ce n’est vraiment pas ma journée ! Je capote un peu plus parce que je me dis qu’il faut absolument que je parle à quelqu’un chez nous pour leur dire que je vais bien et que je ne sais pas quand j’arriverai à Québec.

Je n’ai pas de téléphone cellulaire, donc je pars à la recherche d’une cabine téléphonique (ben oui, ça existe encore). Pour ça, il faut que je sorte de la zone sécurisée. Je me retrouve donc dans le hall d’entrée de l’aéroport où il y a plusieurs téléphones publics. Yé!

J’en décroche un : aucun signal. J’en décroche un autre : aucun signal. La panique monte. J’interpelle un employé de l’aéroport qui m’annonce le troisième fail de ma journée : L’aéroport a décidé de couper le service de téléphone public. Il semblerait que ça ne valait plus la peine, tout le monde a un cellulaire de nos jours !

C’est officiel. C’est une journée de merde.

 

*Pour savoir comment s’est conclue cette journée interminable, surveillez le troisième (et dernier) article à ce sujet dans les prochains jours.*


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